Il est courant que les parents se sentent impuissants face aux réveils nocturnes de leurs enfants. Les cauchemars et les terreurs nocturnes peuvent semer la confusion.
Les cauchemars sont des rêves « désagréables » qui surviennent dans la seconde moitié de la nuit, pendant une phase de sommeil paradoxal. Ils font partie intégrante du développement psychologique de l’enfant.
Généralement, le cauchemar réveille l’enfant. Il peut pleurer et gémir, mais est généralement capable de vous raconter le cauchemar en détail.
Prenez le temps de l’écouter et de le rassurer. Ceci l’aidera à « libérer son rêve » et à se rendormir.
Si l’enfant le demande, allumez la lumière pour lui montrer qu’il n’y a rien d’effrayant dans sa chambre. Le soir suivant, il peut être réticent à aller se coucher. Encore une fois, quelques mots de réconfort suffiront à le rassurer.
Elles surviennent entre 1 et 3 heures après l’endormissement. L’enfant se redresse subitement, les yeux grands ouverts. Il est souvent pâle, en sueur et agite ses membres comme s’il combattait des ennemis.
Sa respiration est saccadée, son cœur bat rapidement. Et contrairement à un cauchemar, l’enfant ne s’est pas éveillé.
Mais comment réagir face à ces terreurs ? Tout d’abord, il est inutile de réveiller l’enfant. S’il est très agité, attendez qu’il se calme en éloignant les objets dangereux.
Comme il ne s’en souviendra pas, il est inutile de lui en parler le lendemain. Ce type de parasomnie concerne principalement les enfants de moins de deux ans. Dans tous les cas, veillez à ce qu’il ait un sommeil régulier et de bonnes siestes pour éviter la répétition de ces épisodes.
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